Ma passion
La moto
J'ai une passion qui me vient de tout petit, c'est la moto.
Le premier permis que j'ai passé avant même mes 18 ans c'est le permis 125. Depuis que je suis tout petit, je me retourne sur le passage des motos. Mes soeurs pourront témoigner. Et comme vous le voyez sur la photo ci-dessous, on pourrait presque penser que c'est héréditaire. Le monsieur sur la photo en noir et blanc, c'est pas moi mais mon père.
Je ne suis pas spécialement brancher sur un modéle ou une marque particulière. Deux roues, un guidon, un bon moteur qui envoie du gaz entre les jambes et ça me met en transe. Si en plus ma petite femme est derrière moi et que je sens sa poitrine toute collée contre moi, on touche au nirvana (Vive le Tibet libre au passage!!!). Je garde un super souvenir de notre virée de 5 jours dans le pays basque en mai 2007.
Donnez-moi une jolie route bien bitumé, bien lisse; avec une serie de virages de toutes sortes et c'est parti pour le fun. Et pour les virages, c'est comme pour le type de moto, je ne suis pas sectaire. En montée, en descente, en devers même si c'est pervers, lents, rapides, en enfilade ou entre-coupés de libre droite pour mettre un peu la poignée dans le coin, c'est l'extase. T'arrives sur les freins ou en lâchant juste les gaz, tu te prépares bien droit et câlé sur l'exter' et c'est parti pour la manoeuvre. EXTER - LA CORDE - EXTER. Et la plus grosse joie c'est de prendre de l'angle. Bien contre-braquer et sentir la bécane qui se couche, contrôler (vaut mieux) avec la jambe interieure et redresser en sorti de virage, ça s'est l'éclate. J'avoue que le Grâal de tout les motards, c'est de poser le genou à terre et c'est vrai que ça me botterai bien. Mais pour ça il faut aller sur piste et je n'en ai pas eu l'occasion. Par contre ça me branche à mort.
Mais il faut aller sur piste car malheureusement nos routes cachent de nombreux dangers, et ça sans parler des infrastrutures qui réservent certaines surprises voir sont parfois dangereuses (ça sera l'objet d'une prochaine missive dans "mes humeurs"). Je suis bien placé pour connaitre les dégats que peuvent occasionner les chutes en moto. Je sais aussi les séquelles que certains et certaines d'entre nous (les motards...) supportent au quotidien. Mais même si d'autres y ont laissé leur vie, la passion est trop forte pour se laisser convaincre de remiser son fier destrier au garage pour l'éternité. Même ceux qui ont pris une grosse gamelle ne rêve que de se rassoir sur la selle et de redémarrer le moteur. Et bien voous savez quoi, je les comprend. La passion est super forte et le danger, même s'il est omniprésent, fait parti du jeu. Il faut avouer que nous le recherchons presque et qu'il participe au plaisir. Si vous ajoutez à cela une bonne envie de transgresser les lois et vous obtenez le coktail qui vous rend accro.
Alors si mes proches tremblent parfois, si ma femme s'inquiéte pour l'avenir de nos enfants si il nous arrive quelque chose sur la route, si ma mère ne dormait pas au temps jadis tant que je n'étais pas rentré, l'appel du guidon est toujours le plus fort. Et pour ceux qui veulent connaitre le frisson de l'angle et les vibrations de l'accélération, qu'il me demande et je me ferai un plaisir de les guider sur les lignes droite et les virages du paradis.
J'ai une passion qui me vient de tout petit, c'est la moto.
Le premier permis que j'ai passé avant même mes 18 ans c'est le permis 125. Depuis que je suis tout petit, je me retourne sur le passage des motos. Mes soeurs pourront témoigner. Et comme vous le voyez sur la photo ci-dessous, on pourrait presque penser que c'est héréditaire. Le monsieur sur la photo en noir et blanc, c'est pas moi mais mon père.
Je ne suis pas spécialement brancher sur un modéle ou une marque particulière. Deux roues, un guidon, un bon moteur qui envoie du gaz entre les jambes et ça me met en transe. Si en plus ma petite femme est derrière moi et que je sens sa poitrine toute collée contre moi, on touche au nirvana (Vive le Tibet libre au passage!!!). Je garde un super souvenir de notre virée de 5 jours dans le pays basque en mai 2007.
Donnez-moi une jolie route bien bitumé, bien lisse; avec une serie de virages de toutes sortes et c'est parti pour le fun. Et pour les virages, c'est comme pour le type de moto, je ne suis pas sectaire. En montée, en descente, en devers même si c'est pervers, lents, rapides, en enfilade ou entre-coupés de libre droite pour mettre un peu la poignée dans le coin, c'est l'extase. T'arrives sur les freins ou en lâchant juste les gaz, tu te prépares bien droit et câlé sur l'exter' et c'est parti pour la manoeuvre. EXTER - LA CORDE - EXTER. Et la plus grosse joie c'est de prendre de l'angle. Bien contre-braquer et sentir la bécane qui se couche, contrôler (vaut mieux) avec la jambe interieure et redresser en sorti de virage, ça s'est l'éclate. J'avoue que le Grâal de tout les motards, c'est de poser le genou à terre et c'est vrai que ça me botterai bien. Mais pour ça il faut aller sur piste et je n'en ai pas eu l'occasion. Par contre ça me branche à mort.
Mais il faut aller sur piste car malheureusement nos routes cachent de nombreux dangers, et ça sans parler des infrastrutures qui réservent certaines surprises voir sont parfois dangereuses (ça sera l'objet d'une prochaine missive dans "mes humeurs"). Je suis bien placé pour connaitre les dégats que peuvent occasionner les chutes en moto. Je sais aussi les séquelles que certains et certaines d'entre nous (les motards...) supportent au quotidien. Mais même si d'autres y ont laissé leur vie, la passion est trop forte pour se laisser convaincre de remiser son fier destrier au garage pour l'éternité. Même ceux qui ont pris une grosse gamelle ne rêve que de se rassoir sur la selle et de redémarrer le moteur. Et bien voous savez quoi, je les comprend. La passion est super forte et le danger, même s'il est omniprésent, fait parti du jeu. Il faut avouer que nous le recherchons presque et qu'il participe au plaisir. Si vous ajoutez à cela une bonne envie de transgresser les lois et vous obtenez le coktail qui vous rend accro.
Alors si mes proches tremblent parfois, si ma femme s'inquiéte pour l'avenir de nos enfants si il nous arrive quelque chose sur la route, si ma mère ne dormait pas au temps jadis tant que je n'étais pas rentré, l'appel du guidon est toujours le plus fort. Et pour ceux qui veulent connaitre le frisson de l'angle et les vibrations de l'accélération, qu'il me demande et je me ferai un plaisir de les guider sur les lignes droite et les virages du paradis.